Dans ce pensionnat de luxe que fréquente la jeunesse dorée de Moscou, la jeune Natalia reçoit une éducation qui n'est pas seulement intellectuelle. Il faut dire que le corps enseignant s'y emploie activement. Le " prof " de musique, par exemple dont les pectoraux et surtout la bosse évidente de son pantalon attirent plus les donzelles dont il a la charge que les gammes et les vocalises. Même la directrice, sous ses dehors stricts, n'est pas sans profiter de son autorité pour se permettre quelques châtiments corporels dont se souviennent avec délice les derrières d'étudiantes surexcitées. Toutes ces gamines malicieuses n'ont qu'une idée en tête : étendre leur pratique des étreintes saphiques (quasi permanentes dans un groupe de filles) à des expériences sexuelles hardies avec tout ce qui porte braguette dans l'établissement.